L’artiste argentin Pablo Gershanik est clown et metteur en scène. Son travail consiste à établir des liens entre l’art et la santé mentale afin de soutenir le processus de résilience.
Face aux traumatismes vécus par les individus, il s’appuie sur le corps pour exprimer la douleur, le choc ou la violence sociale par le biais de la réalisation de maquettes dites « maquettes intimes ». Il a beaucoup oeuvré, en résidence au 104, à Paris, suite au drame du Bataclan, ainsi qu’à Nice après le 14 juillet 2016.
Cette volonté de trouver une voie de résilience, il l’a également appliqué aux problèmes de la pauvreté, de la marginalisation sociale ou culturelle, de la migration, ou encore à toutes formes d’abus.
Il sera ce mardi 17 mars à 20h au Télégraphe pour exposer ce projet de « maquettes intimes » et l’importance de l’art et l’expression par le corps peuvent acquérir dans le traitement de nos traumatismes.
Pour assister à cette conférence gratuite, il faut réserver au